Teïok était parti du repaire de l'Akatsuki. Son sang était résté froid et son esprit en parfaite connaissance de ses actes. Il partait, soif de vengeance et avec un seul but : détruire Suna.
Il entra dans la forêt qui entourait la grotte et pris le chemin pour Suna. Le temps était bond et la chaleure n'était pas éxessive. Une silouhette noir, petite avec un baton où sortait de la fumée, portant un chapeau de paille avançait tranquilement dans la forêt... Les annimaux se cachaient. Après quelques jours il sortis de la forêt où deux tigres géants l'attendaient. Il sortis son drapeau et les tua les deux en une fraction de secondes. Rien ne pouvait l'arrêter, sa vie allait accomplir sa destinée. Il arriva ensuite dans une plaine à hautes herbes. La nuit tombait mais il décida de continuer.
Le lendemain, à l'horizon se dessinait des collines, et un ciel grisâtre surplombait le tout. Teïko avançait d'un pas légé et montait une colline verdouillante, remplit de fleures jaunes et rouges. Teïko avançait, âme noirçit par la vengeance, corps répondant à tout appel. Quand il vit les fleures il essaya d'en écraser le moins possible, d'une part pour cacher qu'il était passé ici et d'autre part car il ne voulait pas gâcher une telle harmonie.
Après quelques jours, le désert de Suna se dessinait au loin. Le vent chaud qu'il créait venait irriter le visage de Teïko caché par son masque. Sa tenue commança à lui tenir chaud quand les premiers grains de sables étaient là. Le vent soufflait si fort que la visibilité de teïko était nule. Il décida donc de s'assoir et d'attendre la fin de la tempête qui commençait. Il attenda dix heures et se releva. Il avait faim, par chance il avait gardé un bout de viande des Tigres qu'il avait tué et les mangea crues. Il avançait fièrement mais avait éteint sa lanterne, ce qui arrêta la fumée et éteignit sa pipe qu'il mis dans sa poche. Il montait sur une dune qui faillit l'engloutir et se dressa. D
" Te voilà enfin, Suna. "
Devant lui, se dressait la resplendissante ville de Suna qui se cachait derrière celle-ci. Le vent soufflait, Teïko était content. Son envie de vengeance allait être étouffée
" Tu n'as pas changé, tu es toujours aussi belle. "
Un petit goût de nostalgie se faisait sentir dans ces parôles...
Sujet: La vangeance approche...